Page précédente Accueil  Plan du site
 

 

 

   

LA LANDE DE LOCHRIST (56 - PLOERDUT)

TEMOIGNE DE CINQUANTE SIECLES D’HISTOIRE.

 

Jean-Paul Eludut

De l’Association d’Archéologie et d’Histoire de la Bretagne Centrale

 

 

             En suivant la D132 du Faouët à Guémené, entre Le Croisty et Ploërdut, on traverse une vaste étendue couverte de pins sylvestres. Les 150 hectares de la lande de Lochrist sont aujourd’hui complètement déserts. Il n’en a pas toujours été ainsi comme l’attestent de nombreux vestiges qui intéressent toutes les périodes de l’histoire du Centre-Bretagne.

 Un point remarquable du paysage du Pays Pourlet.

 La colline de Lochrist culmine à 255 mètres. Elle est visible de Quelven (Guern) à 20 km à l’est, de Kerfandol (Ploërdut) à 8 km au nord, de Sainte-Barbe (Le Faouët) à 12 km à l’ouest, de la forêt de Pontcalleck à près de 9 km au sud. Elle s’étire en pente douce vers l’est sur Ploërdut et forme la limite de partage des eaux entre le bassin versant du Scorff au sud et celui de l’Aër au nord. Cette dernière rivière rejoint l’Ellé, près de la Roche-Piriou, au sud-est du Faouët.

Sur le plan géologique, la colline de Lochrist appartient à une bande de grès armoricain clair, bien exposée dans les communes de Saint-Tugdual et de Ploërdut, qui se suit sur 25 km de Crémenec en Priziac jusqu’au sud-ouest de Langoëlan. Un mince filon de quartz coupe par le nord et d’est en ouest la zone gréseuse dans un secteur où elle est modifiée par la granulite.

Un carrefour très ancien.

           Une voie de crête nord-sud traverse la lande de Lochrist. Venant vraisemblablement de la côte, discernable dès Plouay à Lézot, elle entre en Inguiniel dans les environs du Moustoir, atteint le bourg de Kernascléden. Elle passe « La Gare » où Mlle Chany a trouvé, dans son potager, deux armatures de flèches en silex qui ont été cassées au moment de la taille. Plus au nord, à Moustoiriallan, en Ploërdut, c’est un polissoir qui a été découvert parmi les pierres du lavoir, tout près de la voie. Elle atteint Lochrist devant la chapelle, traverse la lande au plus court pour rejoindre le bourg de Saint-Tugdual par Coatcren. Progressant toujours plein nord, elle escalade la colline de Kerbidic en côtoyant les vestiges d’une enceinte circulaire en terre, traverse  Kerguzul et sa motte castrale, dépasse par l’est La Villeneuve Saint-Noay et son enceinte en terre. A la hauteur du château de Trégarantec, la voie gallo-romaine Hent-Ahès, qui vient du sud-est, emprunte son tracé sur 1 km pour contourner par le nord les sources de l’Ellé. Elle laisse ensuite Saint-Michel Glomel à l’ouest et se dirige vers Pont Auffret et Rostrenen. On la suit ainsi en consultant les cadastres napoléoniens sur une distance de plus de 35 km. Voie de crête nord-sud, dont le parcours est parsemé de vestiges très anciens, cette route nous semble être une des voies primitives qui a pu succéder à un cheminement peut-être mésolithique, éventuellement une de ces fameuses « routes du silex ».

Une autre voie traverse la lande de Lochrist d’est en ouest. Reprise par la D132 et continuant la route Le Faouët-Priziac que S. Le Pennec considère comme gallo-romaine, elle passe par Le Croisty et Ploërdut. Elle continue vers l’est, traverse le Scorff à Saint-Houarno, croise Hent-Ahès et rejoint Séglien. De là elle a pu atteindre Silfiac et, par Perret, le réseau routier gallo-romain Rennes-Carhaix en évitant par le sud le dense chevelu des sources de l’Aër et du Scorff. S. Le Pennec la considère comme une voie importante qui a pu relier Quimper à la région de Saint-Malo.

  La lande de Lochrist a toujours été très correctement reliée au monde. Cela a  encouragé les hommes à s’y installer.

 L’époque néolithique

  Une occupation humaine y est donc attestée par la voie ancienne qui la traverse du nord au sud mais aussi par la  belle hache de microgranite de Coat-Cren. Découverte au cours d’un labour au nord-est du hameau par Monsieur Barbère de Kerborgne, elle mesure 13.5 cm de long. Son tranchant, en excellent état, est large de 5.2 cm. Son épaisseur ne dépasse pas 3 cm. On peut aussi rattacher à cette époque le polissoir de Moustoiriallan.

 Une stèle de l’âge du fer.

  L’époque gauloise représentée par un monolithe de granite clair de près d’1.50 m de long . C’est P. Kernec  qui l’a signalé en 1979, à 200 m au N-E. de la chapelle de Lochrist, sous la souche d’un pin arraché par la tempête, dans une enceinte quadrangulaire plus récente dont les côtés approchent la quarantaine de mètres. M. Tuarze rapporte que « ce monolithe porte un angle épannelé droit et une de ses faces restée brut de taille suggérerait le débitage dans une stèle rectangulaire. » Une de ses extrémités a été façonnée ultérieurement, peut-être « en vue d’une christianisation qui n’aurait pas été menée à son terme ». Remarquons que ce bloc de granite a été très certainement, au prix de quelques efforts, apporté volontairement au sommet de cette colline gréseuse.

 

 Une villa, un fanum et un bas-fourneau gallo-romains.

 L’époque gallo-romaine a laissé plus de traces d’occupation dans la partie est de la lande. De très nombreux tessons de tegulae, de sigillée, de poterie grise commune parsèment les labours à l’est du bois. Rappelons que les vestiges d’une villa ont été découverts par A. Barach de la SAHPL suite au défrichement d’une lande, entre Lezannué et La Villeneuve,  à moins de 500 mètres toujours à l’est. Des travaux de sylviculture, après la tempête de 1987, ont aussi dégagé beaucoup de tegulae et des tessons de poterie grise commune dans la surface boisée.

Tout près de là, sous le couvert, une enceinte carrée de 70 mètres de côté, ouverte à l’est, contenant elle aussi de la tegulae, au sol rehaussé et aplani, rappelle immanquablement le péribole du fanum de Jublain (Mayenne). Des fragments de tegulae mêlés à un amoncellement assez important de petit appareil de granite de forme presque cubique pourraient être les vestiges de la cella. Les tuiles que les membres de l’Association d’Archéologie et d’Histoire du Centre-Bretagne y ont récoltées ont été datées des années 150 après J.C. D’après J-Y Eveillard, cette enceinte pourrait être l’un des seuls fanums encore en élévation en Bretagne. Les exemplaires fouillés dans l’ouest avaient tous remplacé des lieux de culte laténiens. Si celui-ci ne fait pas exception à la règle, nous pourrions nous trouver à Lochrist, en intégrant la chapelle, devant une permanence du sacré sur près de 25 siècles.

            Sur le versant ouest de la colline, on a trouvé, dans une enceinte carrée arasée de 45 m de côté dont la trace argileuse des talus est encore bien visible sur les labours, une belle quantité de scories issues de la fonte de minerai de fer. Précisons qu’on a creusé le flanc de la colline pour former une plate-forme encore visible sur la pente du coteau. Nous avons vraisemblablement affaire à un bas-fourneau. En l’absence de fouilles, pour le dater, nous devons nous contenter du matériel associé. Les seuls tessons de poterie découverts sur les lieux ont été identifiés comme les morceaux d‘une amphore vinaire et d’un mortier gallo-romains. 

 Une enceinte médiévale ? 

 Rosenzweig en 1863 avait déjà signalé au nord-est de la lande, à droite de la route qui descend vers Coat-Cren, une enceinte rectangulaire de 60 m sur 50. Le côté occidental de son massif parapet de terre et de pierre a, depuis, été rasé par des travaux de défrichement. Ces enceintes en terre ont été occupées de la protohistoire au XIIIème siècle. En l’absence de fouilles, il est toujours périlleux d’essayer de les dater avec trop de précision. Nous sommes cependant tentés d’émettre juste une suggestion. La fortification a été construite en contrebas de la voie. Cette position ne nous semble pas très favorable à la surveillance de la circulation. Elle est située sur le flanc nord de la colline de Lochrist. Le panorama y est somptueux. Devant elle, s’étend la vallée de Saint-Tugdual avant une ligne de collines boisées qui culminent à 280 m. Cette ligne de hauteurs est elle-même défendue du côté sud, donc exactement en face de notre fortification par un chapelet d’une demi-douzaine d’autres enceintes de terre circulaires, toutes tournées vers le sud, qui se succèdent à flanc de coteau sur 5 km aux alentours des 200 mètres d’altitude. Et si certains de ces ouvrages défensifs avaient appartenu à la Marche de Bretagne dont une des limites se situe chez nous autour de l’Ellé et de ses affluents ? Notre enceinte de Lochrist serait-elle une de ces « custodiae » (ouvrages de protection) que Louis Le Pieux fit édifier avant de quitter le territoire breton en 834? Dans ce cas, les enceintes de Saint-Tugdual auraient pu appartenir au territoire sous domination bretonne. A noter que le « camp romain » du bois de Coët-Codu en Langoëlan est lui aussi quadrangulaire, en terre, et placé sur le versant nord de la colline. De là, on embrasse aussi un paysage majestueux, toujours vers le nord. Lochrist serait alors placé juste sur la frontière, du côté franc. A. Provost semble nous rejoindre dans nos spéculations : « … Le second point concerne les enceintes et sites défensifs implantés de part et d’autre des hauteurs séparant le Vannetais de la Cornouailles, en particulier vers Saint-Tugdual où la densité des sites fortifiés est particulièrement impressionnante autour de la cote IGN 200. Certes, tous ne sont pas isochrones et, si les éléments recueillis indiquent parfois le Haut-Moyen-âge, la majeure partie de ces petites fortifications n’est pas datée. Au titre de piste de travail, l’hypothèse d’une ligne de défense ou d’une zone frontière aux confins nord-ouest de la Marche de Bretagne dans la lutte entre Bretons et Francs, est à prendre en considération... » Rappelons pour conclure sur ce point que Louis Le Pieux avait établi, en 818, lors de son expédition contre Morvan, son camp à Priziac et que Saint-Tugdual et Le Croisty appartenaient à cette époque à ce territoire.

 Une chapelle d’origine romane.

  Le véritable joyau de la lande de Lochrist reste incontestablement sa chapelle. Le bâtiment orienté est étonnamment trapu. Le vaisseau central s’ouvre sur le bas-côté nord par trois arcades en plein cintre. Sur l’enduit du mur qui leur succède, des traces d’humidité dessinent une quatrième arcade, identique aux trois premières. De ce côté, des sondages en vue d’une restauration future, ont mis à jour, sous l’ancien enduit, les vestiges d’un décor peint géométrique. Le retable cache lui-aussi des peintures murales. Les arcades du midi sont en arc brisé. Cette partie occidentale de la chapelle pourrait appartenir au roman tardif. Des travaux notamment du XVIIè siècle ont fortement remanié le reste de la construction. « Malgré tout, la chapelle conserve une certaine unité grâce à sa belle robe de granit ». Des pillages successifs ont amoindri son mobilier qui reste important. L’ensemble religieux moderne est complété par un calvaire qui a dû connaître des heures plus glorieuses. L’ouvrage de J. Danigo présente la photographie d’un fragment de bas-relief en granit  représentant le portement de croix qui a certainement appartenu à ce calvaire. Il ressemble aux calvaires de Saint-Tugdual et de Locuon du XVIè siècle qui sont vraisemblablement issus d’un même atelier. Ce fragment a été volé en 1967 ainsi que plusieurs autres statues. Une fontaine appareillée datée de 1734 se niche en contrebas sous le couvert de pins sylvestres.

 Les vestiges de quinze loges.

 La lande de Lochrist est caractérisée par les vestiges d’une quinzaine de loges d’habitation. Ce mode d’habitat a perduré longtemps dans nos campagnes: J. Le Tallec nous a communiqué la description de l’une d’entre elles qui date de 1664. En 1853, on en construisait encore une à Lisouriet, en Langoëlan. Semblables à première vue aux maisons médiévales de Pen er Malo, de Pontcalleck ou de Lann Gouh Velrand, elles s’en différencient par quelques aspects essentiels.

Les loges de Lochrist sont toutes excavées. Les parois sont formées de l’amoncellement de la terre et des caillasses issues du creusement. La plupart ont été construites en appui sur un talus préexistant. Cela permettait d’économiser de la terre et de monter d’autant  l’ensemble des cloisons.  Contrairement aux maisons médiévales, aucun parement n’apparaît. Ces parois ne sont que des paravents incapables de supporter la moindre toiture de végétaux ou de mottes enherbées. Celle-ci devait donc reposer sur le sol, englobant l’ensemble de la construction.  

A Lochrist, certains de ces « logerons »  ne comportent qu’une pièce, les animaux et les humains y vivaient ensemble. D’autres sont coupés par une cloison, elle aussi de la matière du sous-sol, qui était vraisemblablement surmontée d’un clayonnage. Les deux pièces communiquent. Les humains et les animaux dormaient séparés mais entraient et sortaient de la maison par l’unique porte. D’autres  encore comportent deux pièces et deux portes. Une sorte de porche encadre souvent la sortie de la loge toujours placée au sud. Il forme  ainsi comme une deuxième pièce.

La loge Le Boursicot est un peu particulière. Elle semble avoir été creusée dans une autre enceinte, antérieure, à peine plus vaste. Un gros monolithe de granite, relativement plat, de la forme d’un triangle dont les angles auraient été fortement arrondis, est percé en son milieu par un trou rectangulaire inachevé. Il peut rappeler le projet d’un support de croix. Posé de guingois, il est à moitié intégré dans le muret de la loge, comme si les constructeurs l’avaient trouvé dans le sous-sol, en creusant l’emplacement de la construction et n’avaient su qu’en faire. On y trouve 4 cupules très nettes.  

Grâce au cadastre napoléonien (1842) et au recensement de 1841, les 80 habitants des 20 loges de l’époque ne nous sont pas tout-à-fait inconnus. Ils étaient présents sur les lieux au moins depuis 1735 date à laquelle des monitoires et reagraves (des appels à témoins publiés aux prônes par les prêtres) accusent certains d’entre eux d’avoir donné asile à « des mauvais garnements et gens inconnus qui volent et qui pillent » « avec des filles de mauvaise vie », peut-être des membres de la bande de Marion du Faouët ? Ces « détenteurs » de portions de lande appartenaient à la frange pauvre de la population agricole, des « indigents » note une délibération du conseil municipal de 1860. Presque tous étaient « laboureurs journaliers ». Seuls trois d’entre eux faisaient exception à la règle : Louis Guillemot était couvreur, Joseph Iziquel et Germain Réty étaient tisserands. Leur cheptel offrait la part belle aux moutons et aux chèvres, ils ne possédaient donc aucune force de travail autre que leurs bras. Difficile dans ces conditions de se sortir de sa misère. Chaque loge était environnée de petites parcelles réparties en prés, en terres labourables et en landes. Un acte de vente du XIXè siècle décrit, en plus d’une loge de 48 m2, une parcelle de « 30 ares de seigle ensemencé » et cinquante gerbes de paille. Ce sont là les seules allusions à une culture sur la lande de Lochrist. Cet acte nous prouve aussi que les édificiers des loges étaient propriétaires de leurs bâtiments. Ils ont pu occuper ces « terres vaines et vagues », ces « terrains jusqu’ici improductifs et inutiles », propriété communale « en vertu la loi des 28 août et 14 septembre 1792 » jusqu’au 20 mai 1860, date de la vente de la lande pour 18 016 francs à Monsieur Jean-Louis de Launay, propriétaire à Guémené. On devine en lisant entre les lignes les comptes-rendus de conseils municipaux que les habitants de la lande ont tenté, en vain, de s’opposer à la vente. La tradition orale rapporte que, chassés par la maréchaussée, ils auraient trouvé refuge notamment au Moustoir-Podo et à Cornhospital, sur le territoire du Croisty. Dans ces deux hameaux on trouvait encore, il y a peu, plusieurs toutes petites maisons excavées, sortes de compromis entre la « loge » et la « vraie » maison.

Ces loges ont été longtemps chez nous l’habitat des plus pauvres. Ce sont elles, les « habitations des pauvres paysans » qui sont décrites par J. Cambry en 1794, Villermé et Benoiston en 1843, et E. W. Davies en 1855. La relation que ces voyageurs font de la vie dans ces logements de fortune est assez effroyable et doit pouvoir s’appliquer assez justement à ce qu’ont vécu les habitants des loges de Lochrist. Grâce à Jean Le Gal, de l’association Arethuse qui nous a communiqué une copie de son acte de naissance, nous avons souvent, en passant devant les vestiges de la loge Le Bris, une pensée pour la petite Perrine qui y est née, « le 3 nivôse an six de la République française » (à la fin du mois de décembre 1798). Le document daté du « vingt quatre floréal an sept de la République française » décrit l’habitation comme « un petit loget nouvellement baties dans la lande de Lochrist ».

 Pour finir avec ces logements de fortune sur une note un peu plus heureuse, une Croistyate se souvient que sa famille possédait une loge pas très loin de Lochrist, à Garhenec, sur la commune du Croisty. Du temps de sa jeunesse, ils y venaient quelquefois passer l’après-midi à la belle saison et leur « petit logeron » servait alors de maison de campagne, une sorte de luxe en guise de clin d’œil à la misère d’autrefois…

 Tout au long de son histoire, au moins épisodiquement, la lande de Lochrist a abrité et en partie nourri un grand nombre d’humains et d’animaux domestiques. Elle est maintenant un lieu désert où seule la « sauvagine » prospère mais les traces de ces anciens sont encore discernables. Il suffit de rechercher les clés du rébus…

   

BIBLIOGRAPHIE

 

Marcel Tuarze : Etude du peuplement des origines aux premières migrations bretonnes du « Bro Gwenedour ». U.E.R. Sciences Historiques et Politiques. Mémoire de maîtrise. 1985.

Marcel Tuarze :  Peuplement ancien et croyances dans le Haut Pays de Locuon aux sources de l’Ellé et du Scorff. U.E.R. Sciences Historiques et Politiques. Mémoire de D.E.A.. 1987.

Alain Provost : Inventaire du patrimoine archéologique du Centre Ouest Bretagne. Région Bretagne. Pays du Centre Ouest Bretagne. DRAC. 2005.

StéphaneS. Le Pennec : Etude d’un réseau routier antique entre Carhaix et l’Atlantique. UBO 1990.

Mein ha Tud numéros 2, 3, 4, 5, 7, 9, 12, 18,21, 22, 29.

 Joseph Danigo Eglises et chapelles du Pays de Guémené.

Jean Le Gal : www.pierreseche.net

J.C. Bans, P. Gallard Bans : Les loges d’habitation de Bretagne. Société d’Emulation des Côtes-du-Nord. 1982.

Rosenzweig : Répertoire Archéologique du Département du Morbihan. Société Polymathique. 1863.

Association de l’Abbaye de Daoulas. « Au temps des Celtes Vème -1er siècle av. JC» Catalogue exposition.

 

 L’allure générale de certaines loges de Lochrist dotées d’un porche rappelait-elle cette maison gauloise ?