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24 novembre 2010

 

 

BUBRY - SAINT-YVES-BUBRY – QUISTINIC 

Yves Logiou

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Et c’est reparti pour un tour ! Pas très loin, Saint-Yves Bubry, c’est la porte à côté…

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 Nous sommes reçus très agréablement par Mme Perron qui sera notre guide très appréciée pour la journée.

On commence par les dépendances, l’hostellerie et le presbytère comportant tous deux des médaillons ornés de signes mystérieux.

Puis l’église, toute «  à dreuj »   si on se place du côté ouest, la tour carrée flanquée d’une tourelle d’escalier et coiffée d’une flèche octogonale…côté est.

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Les commentaires de Mme Perron sont un peu dilués, à cause d’un majestueux jars qui « jargonne » (c’est dans le dictionnaire.) et salue Saint-Yves à sa façon. Splendide porche, le tout hésitant entre le flamboyant et la Renaissance. A l’intérieur, un bras-reliquaire, datant de 1618, qui valait quelques statues en bois, une sablière remarquable et surtout, le lustre en bronze, unique en son genre.

Avant de partir, nous avons chanté en chœur le cantique de Saint-Yves (sauf votre serviteur qui, à sa grande honte et malgré sa naissance dans la commune de Saint-Yves, ne connaissait pas celui-là).

Pas loin, nous découvrons la motte féodale du Vieux saint-Yves, bien visible malgré les broussailles.

 

Repas au restaurant Le Gouallec à Bubry, très simple mais copieux et savoureux ; au café, Claude nous presse comme d’habitude…pour aller se perdre dans les petits chemins creux et quand même rejoindre le château de Villeneuve-Jacquelot. Nous sommes reçus par Mme Boinet, propriétaire de ce château tout en réfection. La pluie nous envoie vers la grande salle, au dallage agencé pour piétons et chevaux, salle restée en l’état, car utilisée par des paysans qui n’avaient pas de soucis d’architecture. Un escalier monumental, de style italien, nous amène vers un pigeonnier avec cabinet d’aisances : même le Roi de France n’avait pas ces commodités ! Dans cet escalier, de belles représentations en pierre dont un sonneur de biniou aux joues gonflées (déjà…).

 

 Dernière étape, Quistinic où nous attend le légendaire abbé Blanchard, qui fidèle à lui-même, nous a expliqué Saint-Mathurin, l’église Saint-Pierre où nous avons encore chanté des cantiques ; décidément c’était le jour !

 

Retour tranquille à Lorient ; une bien belle journée très instructive.

 

 

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Yves Logiou